Des moches, du adopteunmec et de la brouette moldave.

 (cet article n'engage que son auteur)

J’ai pécho une nana sur adopte-un-enculé.com. Ca faisait une paye que j’avais rien tiré de potable. J’veux dire, j’avais bien niqué, (merci adopte-un-bâtard.com susmentionné), mais bon, ça restait clairement du PQ, du p’tit coup pour l’hygiène, histoire de pas se rouiller.

D’ailleurs, je sais pas si t’as remarqué camarade, mais les moyennes, les moches et les grosses sont des coups assez formidables à partir d’un certain âge. Bon, faut pas qu’elles soient trop moches, mais qu’elles aient un petit truc rédhibitoire qui les empêche de se faire défourailler la teucha aussi souvent qu’elles le souhaiteraient. Dans ces conditions, elles apprennent super vite les trucs pour nous faire tripper comme des gros porcs (que nous sommes) nous les mecs.
Je te le promets Johnny, j’ai rarement baisé d’aussi bons coups que les grosses et pourtant je suis plutôt du genre à kiffer la vibe à jouer aux osselets… Mais là… Ah la saloooooooope… Elle valait le coup !

Donc bref, je lui ai mis un coup à la grosse. C’est marrant, je me suis senti absolument misérable. Déjà rien qu’en discutant avec elle, j’ai pigé que je voulais fuir le plus loin possible d’elle, genre très loin, même si ça inclut de cohabiter avec des serpents géants des mygales et des épaves de bateaux (on a les phobies qu’on peut, j’vous emmerde…). Bref, le prototype de la morue qui te fait fuir (sauf si tu aimes les survêtements en pure acrylique Sergio Tachini, auquel cas contacte moi, je te refilerai ses références).
Enfin, j’en reviens à ce que je voulais te dire, déjà, rien qu’en discutant, j’hésitais entre lui envoyer mon poing dans la gueule et m’échapper en prétextant un cours de poney ascensionnel… Finalement elle avait de la super weed, alors je suis resté… Et puis, de fil en aiguille, elle me débectait de plus en plus et corrélativement (et ouais, on a du vocabulaire ici, qu’est ce que tu crois bâtard ?) elle m’excitait de plus en plus.

C’était vraiment un gros tas avec un QI à te faire devenir créationniste (sérieux, 10.000.000.000 d’années d’évolution pour en arriver là ? Je suis si déçu…) et j’avais qu’une envie, la retourner et la bourrer en lui tirant les cheveux (ouais, on est aussi poète ici mec, tkt, tmtc) et accessoirement lui cracher dans le dos, mais par contre, je voulais surtout pas lui rouler de pelle… Déchiré peut être, mais quand même.
Et là, j’en reviens à mon propos premier, (les grosses se donnent à fond), ben j’ai même pas eu besoin de le galocher le laideron, juste à lui pécho les boobs et lui foutre le médius là où tu sais (quoi, tu sais pas ? Si tu sais pas, soit t’as pas l’âge d’être sur ce blog, soit t’es en école d’ingénieur/informatique)…

C’était relativement fou, j’avais déjà niqué des grosses facilement, mais alors à ce point là… Jamais mon bon monsieur et pourtant, Dieu seul sait que la fille facile, c’est mon fond de commerce… Pas une galoche, pas une minette, pas un câlin, pas de mots crus… Je crois que j’ai atteint un des points Godwin de mon existence ce soir mec…
Quant à mes envies, (à savoir lui tirer les cheveux, lui cracher dessus et lui fouetter la couenne du cul), j’ai même pas eu à demander… Et plus je la niquais, plus je me dégoutais et même que j’ai eu un peu de peine pour elle, si, j’te jure ! Je me suis dit qu’elle devait soit être autant en manque que moi, soit sacrément conne, genre encore plus que je le pensais (et comme ça flatte mon égo j’ai choisit de penser que c’est parce qu’elle était définitivement en dessous de l’être unicellulaire sur l’échelle de l’évolution). Et ce dégout viscéral, d’elle, de moi, de mes hormones,  ça m’a fait un bien fou… Sur l’orgasmo-échelle elle se tape un 7.5 les doigts dans le nez (les miens étaient déjà pris ailleurs).

Alors les connasses et connards qui me parlent de respect mutuel, d’amour, de douceur, vous pouvez vous foutre un poing en latex pas lubrifié bien profond dans le fondement (et on ne s’arrête pas avant de se titiller les amygdales) !

Ah ouais, j’ai rencontré une nana sur adopte-le-futur-homme-de-ta-vie-avec-un-gros-chibre-de-black.com, c’est vrai… Je t’en parlerai une autre fois gros, là je dois aller faire dégorger le poireau.